Les omégas 3, les nouveaux alliés de la dépression.
Fin d’hiver difficile, trop de boulot, stress, morosité : de quoi nous faire baisser la tête. Les nouvelles découvertes scientifiques permettent heureusement de comprendre ces passages à vide et montre à quel point un bon équilibre alimentaire à son rôle a joué.
Nous cernons mieux aujourd’hui ce qui fait du mal. La surcharge professionnelle notamment. Travailler plus de 11h par jour doublerait les risques de dépression sévère. Maigrir n’aide pas non plus. En effet, d’après une nouvelle étude britannique : les personnes en surpoids maigrissant dans le cadre d’un régime ont deux fois plus de chance d’être dépressives que si elles gardent le même poids.
Mais qu’est-ce qui fait du bien ? Le sport, bien sûr. Pour les chercheurs de l’University College de Londres, trois séances par semaine réduiraient de 16% le risque de se sentir déprimé. Et ce n’est pas tout, les omégas 3 protègent aussi en améliorant les fonctions cognitives et en jouant comme antidépresseurs, à condition de ne pas souffrir de troubles anxieux. Une étude vient même de montrer que le cerveau et l’hippocampe étaient plus volumineux chez les femmes ménopausées ayant un taux élevé de cet acide gras.
La dépression, comment retrouver le bon équilibre par l’alimentation ?
L’alimentation doit être composée de 10 à 15% de protéines végétales et animales (viande, poisson, œuf, laitage, riz et haricots rouges en association…), de 30 à 35% de lipides variés (huiles végétales diverses, poissons gras, fruits secs riches en lipides, graisses animales en moindre quantité) et de 50 à 55% de glucides (riz, pâtes, semoule, céréales…).
Le Dr Florian Ferreri, psychiatre (co-auteur du livre Le Régime Anti-déprime, ed. Odile Jacob) propose un rééquilibrage global de l’alimentation pour un effet durable sur le moral. « S’il est naturel de se réconforter avec des plaisirs sucrés rapides, il faut limiter les produits transformés et les graisses hydrogénées qui augmentent les risques dépressifs », explique-t-il. L’essentiel : « privilégier les aliments riches en nutriments (le tryptophane dans les œufs, les viandes, les noix, le riz complet) et en micronutriments (le magnésium dans les germes de céréales, le cacao, les fruits secs, les vitamines du groupe B dans la levure de bière en paillette ou de boulanger, les germes de blé, les noisettes, les champignons crus, les œufs…) qui stimulent la sécrétion de sérotonine, et équilibrer l’apport oméga 3/oméga 6 propice aux cellules cérébrales. »
Les omégas3 et omégas 6 sont des acides gras polyinsaturés non synthétisés par notre organisme mais dont celui-ci a grandement besoin. Ils doivent donc être apportés par une source extérieure, comme l’alimentation ou les compléments alimentaires. Plus que la quantité, c’est le rapport entre les omégas 3 et 6 qui importent. L’alimentation occidentale est trop riches en omégas 6 et entrainent donc une mauvaise proportion entre ces acides gras. Cela induit, à la longue, des déséquilibres physiologiques.
Le complément alimentaire Persino, à base de l’extrait lipidique PCSO-524 est LA solution pour rééquilibrer votre apport en oméga 3.Ce concentré huileux est extrait de Perna Canaliculus, la moule aux orles verts de Nouvelle-Zélande et contient de nombreux acides gras oméga-3 d’origine marine.