Comment soigner les douleurs articulaires liées au sport ?
Douleurs articulaires et mouvements limités
Les articulations des sportifs professionnels sont souvent mises à rude épreuve. Pratiquer un sport au quotidien de manière si extrême ne peut, au final, qu’entraîner des douleurs tout aussi intenses. Les raisons peuvent être diverses. Le plus souvent, cependant, on constate qu’elles sont liées à une inflammation articulaire. Celle-ci se manifeste généralement par une rougeur, une sensation de chaleur et un gonflement(1). Les conséquences de ces douleurs sont parfois désastreuses pour les sportifs, comme par exemple l’incapacité d’effectuer certains mouvements importants.
Mais lorsqu’il s’agit de votre passion et de votre gagne-pain, vous n’avez pas le choix : malgré la souffrance, il faut continuer encore et toujours. Il existe cependant des solutions pour prévenir et traiter ces douleurs. Les oméga 3 sont l’une d’entre elles.
Le cas des danseurs professionnels
Le danseur professionnel Tony Dovolani a expliqué comment les oméga 3 l’ont aidé à les surmonter. Découvrons ensemble son témoignage.
Des oméga 3 pour soulager les douleurs articulaires
Les oméga 3 peuvent vous aider à lutter contre les douleurs articulaires liées à une inflammation. Pourquoi ? Parce qu’ils sont reconnus pour être des anti-inflammatoires naturels(2).
Le danseur professionnel Tony Dovolani, notamment connu pour sa participation à l’émission américaine Danse avec les Stars, a expliqué comment la molécule PCSO-524, un composé lipidique riche en oméga 3, avait littéralement changé sa vie(3). « En tant que danseur professionnel, les maux et douleurs font partie du job » partage Tony. Mais plutôt que de vivre avec, il a décidé de prendre des compléments alimentaires d’oméga 3. Les résultats sont impressionnants : plus heureux que jamais, il affirme vivre désormais une vie plus saine et sans plus aucune douleur.
« Quand les gens sont dans la douleur, ils cassent plus rapidement les autres. Ils perdent leur patience. La douleur nous change vraiment. Bien que nous feignions de sourire sur Danse avec les Stars, nous sourions à travers la douleur. J’en arrivais au point où je ne pensais pas être capable de faire une autre saison. Mais maintenant, je dis que je peux faire autant de saisons qu’ils veulent parce que je suis prêt pour cela ! ».
Les oméga 3 et leurs effets sur les douleurs articulaires ont permis à Tony Dovolani d’améliorer ses performances. Le danseur est tellement satisfait qu’il n’hésite pas à partager son secret antidouleur avec le plus de personnes possible.
Le cas des joueurs de hockey sur gazon
Le hockey sur gazon a de plus en plus le vent en poupe. Et pour cause, ces dernières années, ce sport a considérablement évolué : grâce à l’arrivée des surfaces synthétiques et de nouveaux matériaux composites, il est devenu plus rapide, plus physique, plus spectaculaire. La professionnalisation du hockey sur gazon a amené sur les terrains des athlètes mieux préparés, mais à qui l’on demande des efforts de plus en plus importants.
Cette nouvelle intensité n’a pas que l’avantage de ravir le public. Elle amène avec elle son lot de traumas et de blessures. Le hockey sur gazon est régulièrement à l’origine de maux de dos, de douleurs aux articulations ou de tendinites des membres supérieurs et inférieurs. Tout comme le football, le rugby ou le basket, le hockey est un sport de contact.
Bien que le règlement favorise la sécurité des joueurs, ceux-ci ne sont pas à l’abri de coups directs provenant d’un stick, d’une balle ou d’une collision avec un adversaire. Cependant, ce ne sont pas ces coups, ni même la position courbée adoptée par le joueur portant la balle, qui sont à l’origine de la majorité des blessures au hockey. Les principaux responsables sont les changements de rythme et de direction, ainsi que les mouvements rotatoires nécessaire aux différentes frappes dont disposent les joueurs dans leur arsenal technique (push, slape, shot…).
On constate que les blessures qui surviennent le plus souvent lorsque l’on joue au hockey sont articulaires. On retrouve fréquemment chez le hockeyeur des entorses, des tendinites ou encore des symptômes liés à l’apparition d’arthrose. Parmi ces différents problèmes c’est, selon les spécialistes, la tendinite rotulienne qui arrive en tête de liste. Cela n’a rien d’étonnant, puisque ce sont les membres inférieurs et les genoux qui sont les plus sollicités par les démarrages et les changements de direction demandés aux joueurs.
A cela s’ajoute la grande diversité de surfaces à laquelle sont confrontés les joueurs hockeyeurs. En effet, Parce qu’une surface synthétique n’est pas l’autre, les vieux terrains sablés, encore fort répandus, se révèlent beaucoup plus durs et traumatiques que les nouvelles surfaces. Contrairement au football, le hockey a également la particularité d’être pratiqué par les mêmes joueurs dans sa « version salle ».
Organisé durant la trêve hivernale, le championnat de hockey en salle mobilise effectivement des joueurs évoluant uniquement en extérieur le reste de l’année.
A l’inverse, le foot salle est, lui, un championnat distinct et un sport fédéré de façon autonome. Les surfaces, la taille du terrain, le nombre de joueurs et le type d’effort changent alors du tout au tout, mais les joueurs n’ont pas le temps d’effectuer une préparation particulière pour s’adapter à ces nouvelles conditions. Le changement de saison s’accompagne donc régulièrement d’une nouvelle moisson de lésions.
Tendinite du genou et arthrose
Le problème des blessures typiques des sportifs est double. En plus d’éloigner les joueurs des terrains et des pistes de danse, si elles sont mal soignées ou prises à la légère, elles peuvent rapidement se révéler chroniques ou empirer… Parfois jusqu’à causer un arrêt complet de l’activité physique.
Et les sportifs amateurs ?
Si l’on constate que ce problème peut toucher la pratique à haut niveau, suite à une activité sportive trop intense, il est loin de se limiter à l’élite sportive. En effet, la pratique amateur n’est pas épargnée par les blessures et l’on retrouve régulièrement des tendinites du poignet ou du genou chez les sportifs amateurs.
Ce n’est pas ici l’intensité de la pratique qui est à mettre en cause, mais bien le manque d’entraînement, une mauvaise alimentation ou le mauvais positionnement des joueurs et danseurs. Le hockey a la particularité d’être un sport fortement structuré autour de la pratique amateur. Il est possible et même facile de commencer ce sport à tout âge. Il n’est donc pas rare de voir sur le terrain des novices de plus de 35 ans.
Le hockey se pratiquant jusqu’à un âge avancé, le championnat vétéran peut accueillir des joueurs de 60 ans et plus. Les joueurs prenant de l’âge ou commençant sur le tard n’ont par conséquent pas toujours la condition physique et le renforcement musculaire adéquats pour compenser les contraintes que le hockey inflige à leur corps.
Les remèdes
Bien sûr, il existe des remèdes efficaces. La plupart des blessures évoquées ne sont pas une fatalité et nombre d’entre elles peuvent être soignées grâce à un accompagnement spécifique : les traitements médicaux se sont améliorés, les prothèses et les bienfaits des oméga 3 sur la diminution des inflammations articulaires sont de plus en plus évidents…
De tels suivis prennent en général du temps à être mis en place. Au point que, lorsqu’ils sont instaurés tardivement, et des séquelles, voire une gêne dans les membres et les articulations peuvent survenir, parfois jusqu’à réduire la pratique du sportif ou de diminuer son efficacité. Il y a donc tout intérêt à prévenir ce type de lésions.
Tendinite rotulienne : traitement
Il existe de plus en plus de remèdes préventifs contre les tendinites et l’arthrose. Des podologues compétents et spécialisés dans le sport proposent aujourd’hui des semelles permettant aux sportifs d’encadrer accompagner leur position et leurs mouvements.
Il est également important d’écouter son corps et de ne pas dépasser ses limites, tout en adoptant une activité physique préparatoire et une alimentation adaptée à sa pratique sportive. L’alimentation est un aspect capital de la préparation du sportif, souvent négligé ou sous-évalué.
De nombreux acides aminés et nutriments comme les oméga 3 sont nécessaires pour maintenir l’élasticité des tissus et régénérer les articulations sollicitées par l’activité physique ou attaquées par l’arthrose.
Ces nutriments sont naturellement présents – mais en faible quantité – dans l’alimentation, ainsi que dans des aliments comme certains poissons, l’huile de colza… Il est donc conseillé aux sportifs et aux personnes à risque de surveiller leur alimentation et de maximiser leur apport en oméga 3 grâce à des compléments alimentaires adéquats et de qualité. C’est notamment le cas du PCSO-524™, extrait des moules à orles verts de Nouvelle-Zélande, présent dans le Perniso®.
Il n’est bien-sûr pas possible d’atteindre le risque zéro. Mais en s’entraînant, en s’alimentant de façon adéquate, en écoutant son corps, on peut faire en sorte de diminuer le nombre de complications. Pour continuer à jouer au hockey ou à danser sans risquer la blessure à chaque pas ou à chaque passe.
Perniso, complément alimentaire à base de PCSO-524
Alors si vous aussi, vous êtes un sportif, professionnel ou même amateur, et que vous souhaitez améliorer vos performances, tout en prévenant les douleurs articulaires, pensez à Perniso. Il s’agit d’un complément alimentaire 100% naturel, à base de PCSO-524, un extrait lipidique issu de la moule aux orles verts de Nouvelle-Zélande et riche en oméga 3.
Avec Perniso, vous profitez de nombreux bienfaits, tant physiques que psychologiques, et vous retrouvez la possibilité de faire du sport sans douleur.
Sources :